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Métaux Lourds et Electrogalvanisme ?
 
•Dr André Mergui (Stomatologue)

Electrogalvanisme & Electro Hyper Sensibilité (EHS).



L’électrogalvanisme buccal est la présence de courants mesurables en millivolts et micro-Ampères

entre les différentes reconstructions dentaires buccales.


Il est la résultante de 4 facteurs :

la présence de métaux différents sur les dents, (mercure, à l’argent, au palladium, au nickel, au

chrome, au béryllium, au cobalt, au gallium, au molybdène, iridium, indium, titane),

à une salive plus ou moins conductrice,

au type de mastication (bruxomane ou ruminant au chewing-gum) et à

la présence de micro-organismes (streptocoques mutans et candida albicans). 


Les matériaux métalliques en bouche (électrodes) immergées dans un électrolyte, la salive,

le milieu plasmatique perdent de leur substance par diffusion d’ions métalliques dans les

fluides ou tissus environnants.



On considère que l’électrogalvanisme est «acceptable», lorsque nous mesurons moins de

100 millivolts et moins de 10 micro-Ampères.
 Au-delà de ces chiffres et en présence de

symptômes, un traitement s’imposera.  

Les symptômes locaux (gingivite, stomatite, glossite, maladies parodontales, aphtes, lichen

plan, candidose, mauvaise haleine, goût métallique, tatouage gingival au mercure, sensation de

mâcher du papier d’aluminium, et décharges électriques lors de la mastication ou au contact

d’une cuillère), sont souvent associés à des symptômes généraux communs avec les 100

symptômes de la fibromyalgie décrits par A. Mergui : Fatigue Chronique, maux de tête,

migraines, modification de l’humeur, irritabilité, indécision, anxiété, intolérance au stress,

baisse de concentration, perte de mémoire à court terme, déclin intellectuel, dépression,

sinusites et rhinites chroniques, rhume des foins, urticaire, eczéma, dermatoses, psoriasis,

tics des paupières, insomnie, hypersomnie….



Le traitement consiste en une dépose des métaux intrabuccaux avec toutes les précautions

qui s’imposent s’il s’agit de mercure : un seul amalgame à la fois, canule d’aspiration chirurgicale

d’appoint, aspiration chirurgicale puissante, forte irrigation puis rinçage du patient avec une

solution de chlorella. 
Au niveau dentaire, si cela est nécessaire, il y aura lieu de n’utiliser que

des reconstructions sans métal, en favorisant la porcelaine sur zircone. Le meilleur matériau

étant la dent naturelle. 

http://dr-mergui-stomato.fr/content/electro-galvanisme-%8Electro-hyper-sensibilit%8E-ehs

 

« Du poison plein la bouche »

•Plombage : mélange de poussière d'argent, de cuivre et d'étain, avec une grosse goutte de
 
  mercure.
 
•Au Japon, les amalgames dentaires au mercure ont été abandonnés depuis trente ans.
 
•En Russie, ils ont été interdits en 1985, au vu de centaines d'études sur les dangers des
 
  plombages au mercure.
 
•La Norvège condamne l'usage du mercure dans toutes ses applications et il y est interdit
 
  d'obturer les caries avec des amalgames.
 
•En Suède, on ne pose plus d'amalgames depuis 1999.
 
•En Allemagne, la pose d'amalgames dentaires n'est même plus enseignée aux étudiants
 
  dans les facultés dentaires.
 
•En Californie, les cabinets dentaires qui utilisent l'amalgame dentaire doivent arborer un
 
  panneau bien visible avec l'inscription suivante :
 « Attention, ce cabinet pose des obturations à l'amalgame. L'amalgame contient du mercure.
 Les patients traités avec ce matériau d'obturation s'exposent à cette substance chimique
 toxique. L'Etat de Californie a connaissance du fait que le mercure peut provoquer des
 déformations à la naissance et d'autres troubles de la reproduction. »
 
•En 1997, une vaste enquête allemande a permis de vérifier que le mercure s'échappe des
 
 plombages.

L'équipe de chercheurs de l'université de Tübingen, en Allemagne, fait analyser la salive de

18 000 sujet porteurs de 9 amalgames chacun en moyenne. Elle a rédigé ensuite un rapport

de 77 pages, révélant qu'après dix minutes de mastication d'un chewing-gum, la salive

 renferme une moyenne de 47 microgrammes de mercure par litre. Sachant que la norme

 utilisée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour l'eau potable est de 1 microgramme

 par litre, cela signifie qu'à chaque repas, les porteurs d'amalgames ingèrent environ

 47 fois plus de mercure que la norme autorisée.

Sans mastication, au repos donc, la valeur moyenne reste de 27 microgrammes par litre, ce

qui reste considérable, puisque cela représente encore 27 fois cette norme. 

•L'AFSSAPS (Agence nationale de sécurité du médicament) a publié un rapport alarmant au
 
sujet du mercure dans les amalgames dentaires en 2005.

 •Ce rapport décrit d'abord clairement la manière dont le mercure des amalgames est libéré

dans le corps humain : « par dissolution (...) et par abrasion (…), le mercure présent dans l'air

endo-buccal va être soit exhalé, soit atteindre le poumon, soit encore être dégluti et rejoindre

l'appareil digestif. »

•« La libération de mercure est favorisée par la mastication. Ainsi, deux études de 1996 ont
 
montré que la mastication régulière de chewing-gum (…) augmente les taux plasmatiques et
 
urinaires de mercure. »

•« Au niveau pulmonaire, le mercure sous forme de vapeurs et rapidement absorbé.

Une partie (…) pénètre également dans la circulation générale. »

 •« les propriétés lipophiles (tendance à se lier aux corps gras) du mercure autorisent sa

« diffusion » et « sa distribution dans le cerveau. » (qui est fait essentiellement de graisses).

« Les ions mercuriques (…) sont donc piégés et accumulés localement dans les lisosomes.

  « Ce phénomène explique la toxicité du mercure au niveau du cerveau ainsi que sa longue

demi-vie dans cet organe. De même, une partie du mercure métallique peut passer la

barrière placentaire. »

•Les dentistes victimes d'une épidémie de tumeurs
 
•Les dentistes et leurs assistantes respirent au quotidien des vapeurs de mercure et ils sont
deux à trois fois plus souvent victimes de tumeurs au cerveau que la moyenne, et quatre fois
plus souvent atteints de glioblastome, le cancer du système nerveux.
 
•On sait par ailleurs depuis longtemps que « la dépression, et par conséquent le taux de suicide,
est de 60 % plus élevé chez dentistes que dans les autres professions ».
 
•En 1989, le suédois Nylander, mondialement connu pour ses travaux sur le sujet, et son équipe
ont autopsié d'anciens dentistes et leur personnel ; les taux de mercure dans leur hypophyse
étaient multipliés par 35 par rapport à un groupe témoin non exposé. Et pourtant, la plupart de
ces personnes décédées ne travaillaient plus depuis plusieurs années.
 
•L'étude du Dr Vimy et al, réalisée en 1990, a consisté à placer des plombages dans les dents
de brebis gestantes (enceintes) pour déterminer l'effet sur les mères et les agneaux à naître. 
•Les autopsies pratiquées dans le cadre de l'étude mettent en évidence une énorme contamination
de la mère et de son petit : vingt à quarante jours après la pose des amalgames, c'est le rein qui,
chez la mère, montre la plus forte contamination (9000 microgrammes par kg). Le cœur, les muscles,
les glandes parotides, les gencives, l'estomac sont également atteints. Le placenta est
empoisonné aussi : on y trouve 300 microgrammes/kg de mercure ! C'est énorme. Quant au lait
maternel, il est contaminé à raison de 60 microgrammes par litre. Chez le fœtus, le foie, les reins
et le cerveau (hypophyse) sont très touchés, à hauteur de 100 microgrammes/kg. Et ce en dépit
du fait que les amalgames aient été posés à l'intérieure de cavités dans les dents, pour éviter
qu'ils ne s'usent du fait de la rumination. 

 

Ce que fait le mercure

 La toxicité du mercure est connue depuis l'Antiquité. C'est un poison qui inhibe les enzymes

  responsables de la respiration cellulaire.

 Non seulement il entrave le fonctionnement de tous les organes, mais il désorganise et

  perturbe les systèmes endocriniens et hormonaux, nerveux, immunitaires, digestif.

Le système immunitaire est si gravement touché qu'on assiste à une plus grande sensibilité
 
  aux infections et au cancer.
 
Les détériorations des cellules accélèrent le processus de vieillissement de l'organisme, et
 
  favorisent le déclenchement d'affections neuro-dégénératives graves.

 

 

 

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Borghiero Roger  | r.borghiero@gmail.com